Le célèbre oratorio de Haendel revisité par Mozart et l’icône du théâtre expérimental, Robert Wilson. Une version rare à (re)découvrir sous la baguette de Marc Minkowski.
Le jeu de miroir entre les répertoires russe et français de Boris Berezovsky
Les femmes à l’honneur du concert d’ouverture de saison de l’Orchestre de chambre de Paris riche en joies musicales classiques et swing
Un somptueux bouquet de mélodies françaises par Sabine Devieilhe et Alexandre Tharaud.
Lars Vogt et Christian Tetzlaff nous font voyager avec Mendelssohn, Sibelius, Brahms et Dvořák.
Certains des plus beaux airs d’opéras de Vivaldi par Philippe Jaroussky en bonne compagnie.
Véritable « cabinet de curiosités », cette féerie baroque reconstitue l’une des fêtes mythiques de la cour de Louis XIV.
Le retour de Lahav Shani, l’étoile montante de la direction d’orchestre, pour une double démonstration au pupitre et au clavier.
Sixième et ultime rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
Une soirée consacrée à la Danse française en compagnie de cinq prestigieuses compagnies.
Adam Laloum et le Quatuor Strada pour un éblouissant kaléidoscope d’humeurs romantiques.
La guitare de Thibaut Garcia rend hommage à l'un des grands maîtres du répertoire pour l’instrument.
Les frontières entre la Russie et l’Union Européenne étant toujours fermées à ce jour, les représentations sont annulées.
Vikingur Olafsson, le phénomène islandais du piano, offre ce dimanche matin un copieux programme illustrant toute l'étendue de sa palette.
CONCERT ANNULE
Sublime «poème symphonique scénique», Salomé illustre la luxuriance de son sujet, enrichie ici par la vision de Krzysztof Warlikowski et une distribution de haut vol.
Un trio bien inspiré au service de Bruch, Debussy, Schumann et Beethoven.
Mozart, Rossini, Bellini et Donizetti par trois artistes d’exception.
Second rendez-vous cette saison pour Philippe Jaroussky avec un programme consacré à la création musicale vocale européenne au tournant du XVIIe siècle.
Où il est question d’amour et de haine, de guerre et de paix. Du pur théâtre musical magnifié par l’élégance de Magdalena Kožená.
Evgeni Kissin nous délecte de Nocturnes, Impromptus, Scherzos et autres Polonaise de Chopin avant d’aborder les rives du XXe siècle.
Le Quatuor Modigliani fête la modernité de Haydn et Grieg.
Drame de l’amour impossible au romantisme exacerbé, l’opéra de Massenet fascine par le rôle-titre, ici interprété par l'époustouflant Sir Simon Keenlyside.
Un voyage de grande ampleur de Schubert à Berg par Adam Laloum
La traditionnelle venue parisienne de Yuri Temirkanov et de son Orchestre de Saint-Pétersbourg avec Denis Matsuev en soliste.
Une immense fresque chorale tout entière dédiée aux cycles de la nature sous la baguette experte d’Emmanuelle Haïm.
Jonas Kaufmann de retour à Paris pour un unique récital de lieder intitulé Selige Stunde - L’heure bénie...
CONCERTS ANNULES
Une fête d’anniversaire et de la harpe pour les 80 printemps de Marielle Nordmann.
Deux chambristes d’exception pour un programme de sonates de Prokofiev, Britten et Chostakovitch.
Fidelio, Matthias Goerne, la Cinquième : tout Beethoven ou presque en un concert.
Dumont et Charpentier ou l’art du Grand Motet à la française dans sa plus parfaite plénitude.
Passage de relais pour le violoncelle de Victor-Julien Laferrière et le piano de Maxim Emelyanychev
Le premier récital parisien de la pétillante Lisette Oropesa que toutes les grandes scènes lyriques s’arrachent.
Seong-Jin Cho, le nouvel astre brillantissime de l’école sud-coréenne du piano.
L’Orchestre National de France, Cristian Măcelaru et Eric Ruf ont rendez-vous ce soir avec Mendelssohn
Une soirée où les plus célèbres pièces du répertoire des vents seront à l’honneur.
La beauté de l’art de Bach par un trio de choc, Emmanuel Pahud, Trevor Pinnock et Jonathan Manson.
Le retour sur scène à Paris d’Eleonora Abbagnato dans les célèbres 4 Saisons de Vivaldi.
Deux immenses ténors Michael Spyres et Lawrence Brownlee pour un festival Rossini.
Le sultan du piano Fazıl Say en compagnie des fringants héros du Quatuor Modigliani.
Un somptueux et réaliste manuel du savoir-aimer baigné de toute la sensualité mozartienne.
Concert hommage à Liszt et Fauré par Kit Amstrong.
Le talent n’attend pas les années et la très jeune Alexandra Dovgan l’a déjà prouvé.
Debussy, Chopin et Rachmaninov sous les doigts de Sunwook Kim et Edgar Moreau.
Les Wesendonck-Lieder de Wagner illuminés par Anja Harteros et la rare et unique symphonie de César Franck.
Le retour du pianiste Mikhail Pletnev avenue Montaigne après quinze ans d’absence.
La complicité d’un trio pour illuminer Tchaïkovski et Chostakovitch.
Le clarinettiste virtuose Martin Fröst dans un programme en forme de feu d’artifice.
Toute la tendresse et la drôlerie de l’opéra de Donizetti dans une version adaptée pour le jeune public.
L’elfe suédois de la clarinette Martin Fröst en bonne compagnie avec Antoine Tamestit et Shai Wosner.
Une partition magistrale autant par sa dimension sacrée que par sa puissance orchestrale et chorale.
Duo de grâce et d’élégance autour des figures de Beethoven, Respighi, Ysaÿe et Franck.
Les tempéraments et les voix somptueuses de Joyce El-Khoury et de Karine Deshayes pour une soirée consacrée aux Reines du bel canto.
Le Concerto pour violoncelle de Schumann par Nicolas Altstaedt et les effusions de Chausson à écouter sur France Musique le 11 février à 20h
Le violoniste russe Vadin Repin inaugure ce grand week-end violon avec Hindemith, Prokofiev, Ravel et Grieg.
Le second rendez-vous de ce week-end violon est aussi l’occasion de découvrir des jeunes artistes prometteurs. Cet après-midi, l’américaine Stella Chen.
Le troisième rendez-vous de ce week-end violon nous permet de retrouver l’allemande Arabella Steinbacher.
Le pianiste argentin Nelson Goerner met en regard Schubert et Liszt. Passionnant.
La jeune Eva Zaravo, bardée de récompenses, est l’invitée du quatrième rendez-vous de ce week-end violon.
Pour conclure ce grand week-end violon, la russe Alena Baeva, doublement adoubée par Rostropovitch et Ozawa.
Sergei Dogadin nous plonge au plus profond de l’âme russe avec Tchaïkovski, Prokofiev et Stravinsky.
Sunwook Kim en solitaire pour célébrer Haydn, Schubert, Chopin et Prokofiev.
La jeune belge Jodie Devos est la soprano colorature du moment qui triomphe à la scène comme au disque.
Cette production offre une résonance contemporaine à une œuvre phare du XXe siècle. Poulenc «dialogue» ici avec le compositeur Thierry Escaich.
Roger Muraro conjugue la virtuosité et le romantisme de Chopin et Albéniz.
Piotr Anderzewski en maître de l’art du Cantor de Leipzig.
Un programme tout en raffinement et en énergie porté par la mandoline d’Avi Avital.
David Fray retrouve Schubert et son imposante Wanderer-Fantaisie.
Toutes les nuances de la mandoline et l’art précieux d’Avi Avital.
Le temps d’un bal, Verdi fait tomber les masques de la passion et du devoir.
Sans doute la déploration de la douleur la plus célèbre du répertoire baroque.
La Saint Matthieu, ou l’acmé de l’art choral de Bach dirigée et chantée par Mark Padmore.
Un beau matin, petit Pierre ouvrit la grille du jardin et s’en alla dans les grands prés verts…
La méconnue Didon d’Henry Desmarest renaît grâce au Centre de musique baroque de Versailles et à Véronique Gens dans le rôle-titre.
La première des grandes pages que Bach composa lors de son installation à Leipzig et l’un des sommets de son catalogue choral.
Christian Tetzlaff et son quatuor éponyme célèbrent Mozart et Sibelius.
Paris découvre la jeune compagnie cubaine Malpaso à l’incroyable énergie avec trois ballets de Ohad Naharin, Mast Ek et Osnel Delgado.
La plus populaire des pages sacrées de Mozart et son célébrissime aria de l’Agnus Dei. Quand le spirituel se pare de sensualité.
Haendel et ses muses servis par Patrizia Ciofi, Lea Desandre et Anthea Pichanick.
« Festival scénique sacré », le dernier opéra de Wagner est une puissante épopée, un monument musical sans pareil.
L’ultime chef-d’œuvre de Bellini doit sa notoriété à ses rôles principaux parmi les plus exigeants du répertoire belcantiste.
Une soirée pour célébrer les liens musicaux entre la France et les Etats-Unis.
Tamerlano, l'un des plus beaux et poignants exemples de richesse vocale du répertoire baroque.
Rencontre inédite et intime entre le violon de Vivaldi et le bandonéon de Piazzolla.
Le dernier solo d’Akram Khan à la fois saisissant d’humanité, tragique et poétique, à l’image de cet immense interprète.
Mendelssohn chambriste et l’art de la déclaration d’amour de Schumann par le Trio Wanderer.
L’hommage de Gérard Depardieu à la Dame en noir.
Virtuosité et romantisme brahmsiens assurés sous les doigts du violoniste Lars Vogt.
Les lumineux Belcea dans Brahms et Britten.
Sonya Yoncheva célèbre l'opéra romantique et le bel canto.
Jean-Christophe Spinosi convie jeunes chanteurs et breakdancers pour un voyage original, entre tradition et modernité.
Trois des plus beaux quintettes de Mozart par les Konzertmeister du Philharmonique de Berlin.
Seconde soirée avec les Konzertmeister du Philharmonique de Berlin pour leur exploration mozartienne.
Les trois âges de Strauss visités par Thomas Dausgaard et le pianiste Haochen Zhang.
Riccardo Muti et les Wiener Philharmoniker pour une magistrale démonstration de complicité musicale.
Le nouveau « voyage » de Patricia Petibon tout à son image : alchimie et délicatesse.
Après leurs duos dans La Traviata et Manon, Pretty Yende et Benjamin Bernheim se retrouvent pour l’exercice du récital.
L’histoire de la Neuvième symphonie de Beethoven en musique et en mots.
Le tourbillon des sens de Bach-Liszt à Villa-Lobos proposé par Simon Ghraichy
Un brillant et rare pasticcio constitué d’airs et de cantates de Haendel et une équipe rompue à ce répertoire menée par Franco Fagioli.
Pretty Yende est Amina dans La Somnambule, l’une des plus belles pages lyriques du romantisme italien.
Le pianiste Fazil Say est un homme de dialogue : ce soir, Schubert et Bach.
La légende mozartienne en résonance avec la méconnue Messe pour le Sacre de Napoléon de Paisiello.
Toute la palette de Nikolaï Lugansky entre classicisme beethovénien et mélodie debussyste.
Le traditionnel et très attendu récital parisien de l’ovni pianistique Grigory Sokolov.
Christian Zacharias fait dialoguer Haydn et Beethoven.
La Storia di Orfeo racontée avec grâce par Philippe Jaroussky et Emőke Baráth.
Jakub Józef Orliński, ou le moderne et digne successeur des castrats du XVIIIe siècle
Cette Madame Angot de Lecocq fut un triomphe lors de sa création, puis l’oubli. Une brillante équipe de chanteurs français la remet à l’honneur avec un plaisir non dissimulé.
Pour finir la saison en beauté, un opéra-bouffe et la perle d’Offenbach. La bonne humeur assurée avant la pause estivale.
Une nouvelle Folle Soirée consacrée à l’opéra à l’initiative de Radio Classique.