L’ultime rendez-vous pour célébrer entre amis le parcours d’une Grande Dame de la Musique.
Brahms et son Requiem allemand, une page forte pour entamer la 50e saison des Concerts du Dimanche Matin.
Deux drôles d’oiseaux et le piano de Shani Diluka pour une matinée poétique en perspective.
Pas encore majeure, mais déjà Alexandra Dovgan s’attaque au monument de l’opus 110 de Beethoven.
Rencontre au sommet entre Tabea Zimmermann et les Belcea pour deux quintettes de Mozart.
Le triomphe de l’accordéon et l’esprit Galliano-Piazzolla.
Au-delà du chant, toute la féérie de La Flûte enchantée de Mozart en version mimodrame.
L’art du trio par les Wanderer.
Emmanuel Pahud en duo avec le claveciniste Benjamin Alard pour un dimanche « Grand siècle français ».
Vaste voyage de Haydn à Chostakovitch pour le Quatuor de Jérusalem.
Le Quatuor Ebène en bonne compagnie pour Strauss et Schubert.
Le violoncelle de Victor Julien-Laferrrière et le piano de Jonathan Fournel entre romantisme et modernité.
La grande fantaisie zoologique de Saint-Saëns qui enchante petits et grands.
Brillant effet miroir entre Beethoven et Messiaen par un quatuor de solistes porté par la complicité.
Programme franco-russe pour le prince anglais du piano, Benjamin Grosvenor.
Les Modigliani font converser Ravel et Beethoven.
Anne Queffelec et Gaspard Dehaene ou la complicité entre mère et fils autour du clavier.
Le doigté d’Adam Laloum et le l‘archet de Liya Petrova pour un programme début XXe siècle.
Le piano de Pierre-Laurent Aimard et la voix de Mathieu Amalric pour célébrer Ravel.
Pianino et Grand Pleyel de concert ? Rien ne résiste à l’insolent talent de Justin Taylor tout à Chopin ce matin.