Stella Chen | violon
Albert Cano Smit | piano
Le second rendez-vous de ce week-end violon est aussi l’occasion de découvrir des jeunes artistes prometteurs. Cet après-midi, l’américaine Stella Chen.
Grand week-end violon II
Beethoven Sonate op. 12 n° 3
Ysaÿe Caprice, d’après L’Etude en forme de valse de Saint-Saëns op. 52 n° 6
Bartók Rhapsodie n° 1
Strauss Sonate op. 18
ET AUSSI
Tout au long du Grand week-end violon, participez en famille aux animations « luthiers et archetiers à l’établi : création et restauration ». Petits ou grands, venez découvrir l’univers magique du violon...
Diplômée en psychologie et passionnée de patinage artistique, la jeune violoniste américaine Stella Chen, lauréate du dernier Concours Reine Elisabeth a tout d’une grande : un son mordoré et le geste impérieux au service d’un tempérament de feu. Pour commencer, la sonate n° 3 de l’opus 12 de Beethoven où même si le piano conduit brillamment le discours, le violon n’est pas en reste avec ses torrents de notes aux accents lyriques. Autre climat avec le Caprice d’Ysaÿe d’après l’étude en forme de valse de Saint-Saëns, pur joyau de virtuosité visionnaire. La Rhapsodie de Bartók fait partie des pièces chambristes les plus accessibles du compositeur mais où l’on pressent déjà les lignes de forces de ses œuvres majeures à venir. Enfin la sonate de Strauss, œuvre de jeunesse et où si le piano fait volontiers démonstration de virtuosité, le violon illustre bien des affinités proches de la « voix », instrument que l’on sait cher au compositeur.
PRODUCTION Productions Internationales Albert Sarfati
Vous aimerez aussi
Erik Orsenna, Henri Demarquette, Michel Dalberto
L’histoire de la Neuvième symphonie de Beethoven en musique et en mots.
Rotterdams Philharmonisch Orkest
Le retour de Lahav Shani, l’étoile montante de la direction d’orchestre, pour une double démonstration au pupitre et au clavier.
Clara-Jumi Kang, Edgar Moreau, Sunwook Kim
La complicité d’un trio pour illuminer Tchaïkovski et Chostakovitch.