Le plus noir des ouvrages mozartiens servi par la jeune et talentueuse troupe de l’Opéra de Garsington.
Yuri Temirkanov et Beatrice Rana au cœur du romantisme avec Rachmaninov et Schumann.
Yuri Temirkanov poursuit son voyage musical en Europe centrale avec Brahms et Dvořák en compagnie de Boris Berezovsky.
Les amours de la reine d’Egypte et du conquérant romain sous la plume de Haendel. Somptueux.
Deux des plus belles pages sacrées du répertoire ancien. Un même souffle pour une émotion universelle.
Lars Vogt au cœur de tourmentes romantiques avec Mendelssohn et Brahms.
Le colosse russe ouvre la saison Beethoven du Théâtre avec les mythiques sonates Appassionata et Opus 111.
L’étoile montante de la direction d’orchestre, Lahav Shani, inaugure sa présence avenue Montaigne avec Le Sacre du printemps de Stravinsky
Une soirée entièrement consacrée à Vivaldi par l’Ensemble de la Paix, François-Marie Drieux, Andrea Griminelli et Ji-Yoon Park
Angelin Preljocaj s’empare du Voyage d’hiver de Schubert pour un nouveau ballet aussi graphique que musical.
Ouverture de la série des Concerts du Dimanche Matin avec le Concerto Köln, Bach et Geminiani.
Le Palazzetto Bru Zane de Venise, laboratoire des redécouvertes de musique romantique française, fête ses 10 ans.
En glorifiant magistralement le destin du prophète Elie, Mendelssohn s’inscrit avec brio dans la tradition du genre oratorio.
Une soirée au profit de l'association Les Chevaliers du ciel qui œuvre pour changer les regards sur le handicap des enfants
Le caractère poignant des œuvres chorales de Poulenc sont parmi les plus belles pages sacrées du XXe siècle.
Premier rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
Mezzo incontournable des scènes lyriques, Elīna Garanča revient pour un récital mêlant grand répertoire et canciones espagnoles.
Un opéra fondateur du romantisme allemand où surnaturel et magie occupent une place importante, un terrain d’excellence pour Laurence Equilbey et la Cie 14:20
Adam Laloum, l’un des pianistes français les plus talentueux de la génération des trentenaires.
Toute la diversité de talent et la curiosité de Fazıl Say, interprète « hors normes ».
Benjamin Millepied revient à Paris avec sa troupe du L. A. Dance Project et une soirée justement Made in L. A.
Attention, véritable phénomène de précocité : la jeune pianiste russe Alexandra Dovgan est née en 2007. Oui vous avez bien lu, 2007.
Un voyage au cœur du clavier romantique proposé par le surdoué Andreï Korobeinikov.
Un Verdi rare mais dont la richesse d’écriture pour l’orchestre et les voix préfigure les grands ouvrages à venir du compositeur
Second rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
De bonnes fées se sont penchées tôt sur le berceau de la pianiste italienne Beatrice Rana.
Le traditionnel et unique récital parisien de l’ovni pianistique Grigory Sokolov.
Ces nouvelles Noces de Figaro sont l’occasion pour Jérémie Rhorer de revenir au compositeur et pour le cinéaste américain James Gray de faire ses premiers pas à l’opéra
Une soirée sous le signe de la tradition musicale yiddish imaginée par le Quatuor de Jérusalem autour de Schulhoff, Desyatnikov et Korngold.
Constantin Trinks pour deux « tubes » de Beethoven et le Concerto pour violon de Schumann sublimé par Carolin Widmann.
Michel Lethiec entouré de ses amis chambristes du Festival Pablo Casals fêtent Mozart et Schubert.
Une altiste de haut vol et un grand d’Espagne pour un voyage du nord au sud de l’Europe.
Bijou de l’opéra baroque français, la comédie de Rameau est d’une séduction irrésistible.
Charpentier est l’un de plus subtils maîtres la vie musicale de la France du XVIIe siècle.
Un rare Lully et une nouvelle preuve de son écriture parmi les plus raffinées.
Troisième rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
Expert du répertoire romantique, l’argentin en fait une nouvelle démonstration dans Brahms, Schumann et surtout Liszt.
Trois maîtres de l’écriture sacrée baroque pour une même déploration. Trois sommets d’émotion.
Isabelle Georges nous emmène dans un voyage passionné où se côtoient Aznavour, Bécaud, Brel, Nougaro, Piaf, Legrand, Cole Porter et bien d'autres...
Rachmaninov et Prokofiev par le chef américain James Gaffigan et le pianiste sud-coréen Seong-Jin Cho
Le genre du Stabat traversa les siècles. Celui de Rossini ne manque ni d’envergure émotionnelle, ni du souvenir de son écriture lyrique.
La valse dans tous ses états et l’esprit de la Vienne éternelle.
Dance Me est un puissant et émouvant hommage de la compagnie BJM Dance Montréal à son compatriote Leonard Cohen.
Quelques récitals et opéras haendéliens et un premier album ont propulsé le contre-ténor Jakub Józef Orliński dans la cour des grands.
Un moment de fête et de partage mêlant chefs-d’œuvre classiques parmi les plus festifs et une sélection des plus beaux chants de Noël.
La troupe du ballet de l’Opéra National de Kiev a conquis Paris l’hiver dernier avec Casse-Noisette. Les voici de retour avec un autre grand classique, Le Lac des cygnes.
Un début d’année sous le soleil de l’Italie baroque avec Giovanni Antonini et Il Giardino Armonico.
L’hiver dernier, ils étaient Violetta et Alfredo ici-même et s’aimaient jusqu’à ce que la mort les sépare. ils se retrouvent pour un récital d’airs et de duos… d’amour, forcément.
Berlioz célébré par une création musicale d’Arthur Lavandier et par la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac.
Le « National » et son directeur Emmanuel Krivine en bonne compagnie avec la violoniste virtuose Julia Fischer.
Cette aventure dans l’Orient exotique est un divertissement servi avec humour et vituosité par la musique du jeune Rossini.
Le conte musical imaginé par Jean Broussolle sur une musique d’André Popp n’a pas pris une ride et la truculente Juliette nous le prouve à son tour.
Haendel dans toute sa splendeur musicale et vocale et une scène de folie d’anthologie.
Le jeune pianiste japonais, star dans son pays et étoile montante des scènes mondiales dans Schubert, Chopin et Scriabine.
Le grand retour du pianiste Jean-Philippe Collard sur la scène du Théâtre des Champs-Elysées.
Le voyage intégral d’un soir pour François-Frédéric Guy au cœur des concertos pour piano de Beethoven
Quatrième rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
L'immense Jonas Kaufmann se fait rare à Paris. L’occasion de ne pas manquer ce nouveau récital.
Le Magnificat, sublime cantique chanté par la Vierge Marie après l’Annonciation, dans les versions du père et du fils Bach. Une filiation autant musicale que spirituelle.
Copieux programme romantique pour le jeune pianiste canadien Jan Lisiecki.
Une soirée viennoise de Haydn à Schoenberg en compagnie de Nicolas Altstaedt.
On le sait curieux du répertoire baroque comme des pages les plus contemporaines. Son nouveau défi est consacré aux Lieder de Schubert.
L’Orchestre Symphonique d’Euskadi et son chef Robert Trevino se consacrent à Ravel et Mahler.
Le jeune prodige russe du piano et de la direction d’orchestre, Maxim Emelyanychev, dans un programme symphonique.
Après Un Barbier et Une Carmen, ce sera au tour de Suzanne, de Figaro, de la Comtesse, du Comte et de Chérubin de nous inviter à chanter tous ensemble, petits et grands.
Le pianiste suisse a le sens de la clarté et des clair-obscur, une qualité qui devrait faire merveille dans Schubert et Liszt.
La jeune soprano Elsa Dreisig à l’ascension fulgurante dans l’art intimiste du récital, à la croisée de trois univers musicaux.
Une œuvre parmi les plus poignantes de Mozart nourrie par trois siècles de légende et précédée de rares pages de ses contemporains.
Elisabeth Leonskaja en bonne compagnie pour un voyage Schubert : première étape avec les deux trios pour piano et cordes.
Elisabeth Leonskaja en bonne compagnie pour un voyage Schubert : seconde étape avec les deux quintettes en miroir aux trios de la veille.
La création de l’univers par le bâtisseur du classicisme viennois. Une page grandiose et universelle par un maître du répertoire choral.
Le Trio Wanderer, célèbre le maître de Bonn, avec le Triple Concerto.
La leçon beethovénienne par Evgeny Kissin.
La Messe en ut précède de quinze ans la Missa solemnis. Pourtant, on y pressent déjà toute la dimension moderne et visionnaire du musicien.
La sensibilité d’Adam Laloum pour les ultimes sonates pour piano de Schubert.
Roberto Alagna invite à un voyage intime, illustrant l’éventail des goûts et de la personnalité de Caruso, mêlé à ses propres coups de cœur
Cinquième rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
Ecrit pour un effectif féminin, cet oratorio de Vivaldi est le seul à être parvenu jusqu’à nous.
Beethoven servi par le violon de Christian Tetzlaff pour l’un des « tubes » du répertoire concertant.
Page aussi fascinante que complexe, née de la fructueuse collaboration de Strauss et de son librettiste Hofmannsthal, cette Frau requiert une équipe artistique exceptionnelle, comme celle réunie ici.
Quand l’Orchestre de Rotterdam retrouve Yannick Nézet-Séguin pour la Cinquième de Mahler
Truls Mørk étant souffrant, le concert d'ouverture du grand week end violoncelle est annulé.
Le violoncelle dans tous ses états en cinq étapes : second rendez-vous avec Victor Julien-Laferrière, l’un des plus brillants jeunes violoncellistes de l’Ecole française.
Le violoncelle dans tous ses états en cinq étapes : troisième rendez-vous avec Alexandre Kniazev, l’un des grands noms de l'école russe.
Un voyage beethovénien en Orient pour la pianiste Shani Diluka et les musiciens indiens Mehboob Nadeem et Mitel Purohit.
Le violoncelle dans tous ses états en cinq étapes : quatrième rendez-vous avec la jeune génération et l’un de ses plus prometteurs représentants, l’espagnol Pablo Ferrández.
Le violoncelle dans tous ses états en cinq étapes : cinquième et dernier rendez-vous avec le jeune britannique Sheku Kanneh-Mason, révélé au monde entier lors d’un royal wedding.
Ultime chef-d’œuvre de Rossini qui avait alors renoncé définitivement à composer pour l'opéra. Mais l’inspiration est bien au rendez-vous pour le « dernier de ses péchés de vieillesse ».
La leçon beethovénienne par les Wiener Philharmoniker et Andris Nelsons : de l’héritage fondateur de Haydn à l’esprit Eroica de la Troisième.
La leçon beethovénienne par les Wiener Philharmoniker et Andris Nelsons : la félicité de la Quatrième et la Cinquième, acmé du romantisme de l’infini.
Une magistrale leçon orchestrale de Beethoven et un émouvant hymne à l'amour et à la liberté.
La leçon beethovénienne par les Wiener Philharmoniker et Andris Nelsons : la Pastorale Sixième et le choc de la Septième.
La leçon beethovénienne par les Wiener Philharmoniker et Andris Nelsons : la vivacité de la Huitième avant l‘Everest de la Neuvième.
La complicité d’Alexandre Melnikov et d’Andreas Staier pour faire briller Schubert à quatre mains.
La musique polonaise d’hier et d’aujourd’hui à l’honneur avec le chef Łukasz Borowicz et le pianiste Rafał Blechacz.
L’Ensemble Les Surprises nous entraîne au cœur du voyage amoureux de Purcell.
Les aventures de Pinocchio dans une version où musique, théâtre et illustrations graphiques concourent à créer un véritable univers poétique.
Suite à la récente décision gouvernementale, Renée Fleming et Evgeny Kissin sont contraints d’annuler leur venue.
L’opéra de toutes les passions pour l’ambitieuse Reine Elisabetta et Roberto, archétype du héros romantique. Un terrain de jeu dramatique traité avec magnificence par David McVicar.
La clarinette à l’honneur chez Brahms et Schubert, servie par le maître en la matière Michel Portal, le pianiste Michel Dalberto et la soprano russe Elena Galitskaya.
L’aînée des Passions de Bach et déjà la parfaite maîtrise de l’équilibre entre airs solistes et parties chorales
Tout le génie dramatique et coloriste de Rameau irrigue cette pastorale héroïque méconnue que Les Ambassadeurs ont fait renaître.
Esa-Pekka Salonen au pupitre du Philharmonia pour la testamentaire Neuvième de Mahler.
Quand Nemanja Radulovic et Michel Vuillermoz font dialoguer Beethoven et Tolstoï.
Passion ardente et étreintes enflammées pour ce drame shakespearien. Gounod se hausse ici à la hauteur du mythe.
Le violoncelle de Jean-Guihen Queyras entre le romantisme de Saint-Saëns et la modernité de Boulez.
Le jeu de miroir entre les répertoires russe et français de Boris Berezovsky
Le rare Serse de Haendel, sera défendu ici par les très prometteurs Emily D’Angelo et Jakub Józef Orliński.
Sixième et ultime rendez-vous du Quatuor Belcea pour l’intégrale des quatuors de Beethoven.
La Saint Matthieu où l’art de Bach s’épanouit dans toute sa splendeur et maturité
REPRESENTATIONS ANNULEES
CONCERT ANNULE
CONCERTS ANNULES
Arcadi Volodos, souffrant, est contraint de reporter son récital au lundi 4 mai 2020.