Un dimanche avec… Elīna Garanča
Elīna Garanča partage sa vie entre Riga, en Lettonie, et Gibraltar, au sud de la péninsule ibérique. Un dimanche entre deux avions.
Mezzo incontournable des scènes lyriques, Elīna Garanča revient pour un récital mêlant grand répertoire et canciones espagnoles.
Verdi Luisa Miller, ouverture
« Nel giardin del bello », air extrait de Don Carlo
Puccini Manon Lescaut, Intermezzo
Cilea « Ecco, respiro appena... Io son l’umile ancella », air extrait d’Adriana Lecouvreur
Verdi La Forza del destino, ouverture
« O don fatale, o don crudel », air extrait de Don Carlo
Federico Chueca El Bateo, prélude
Grieg « T’estimo » (arrangement Langley)
Stanislao Gastaldon « Musica proibita » (arrangement Chichon)
Von Suppè Leitche Kavallerie, ouverture
Rosenta Mato / Castelao «Lela»
Carlos Gardel « El dia que me quieras »
Geronimo Giménez « La boda de Luis Alonso », Intermezzo
Pablo Sarozabal « No puede ser ! », La Tabernera del puerto
Durée du concert
1ère partie : 35mn environ - Entracte : 20mn - 2e partie : 40mn environ
Son timbre de velours et son naturel irrésistible en font depuis une décennie une mezzo incontournable des grandes scènes lyriques à travers le monde. On l’a découverte ici toute jeune en Angelina dans la production de La Cenerentola signée Irina Brook. Depuis, la Lettone a fait du chemin, abordant désormais des rôles plus dramatiques, comme l’ont prouvé ses récentes Eboli de Don Carlos à Paris et sa flamboyante Dalila aux côtés de Roberto Alagna au Metropolitan de New York. Mais cette artiste venue du froid n’a jamais caché ses affinités pour le répertoire ibérique qu’elle pratique volontiers en seconde partie de récital, comme ici pour ce programme qui mêle quelques-uns des grands airs italiens du XIXe siècle et des canciones et zarzuelas. Une soirée qui indéniablement invite au voyage.
Production Les Grandes Voix
Elīna Garanča partage sa vie entre Riga, en Lettonie, et Gibraltar, au sud de la péninsule ibérique. Un dimanche entre deux avions.