Début de saison romantique pour l’Orchestre de chambre de Paris avec Thomas Hengelbrock et le violoncelliste Jean-Guihen Queyras.
Place à la jeunesse avec au pupitre Maxim Emelyanychev et le violon du jeune prodige russe Aylen Pritchin.
Mozart par Elisabeth Leonskaja, les voyages de Mendelssohn et une ouverture « sportive » doublement signée Honegger / Pesson.
Matthias Pintscher et l’Orchestre de chambre de Paris entre Vienne et Paris.
La violoniste et chef Antje Weithaas chez Haydn, Hartmann et Brahms : du tragique à la félicité.
Le jeune chef hongrois Gábor Káli et le piano de Roger Muraro pour un programme où s’entremêlent âme slave et danses hongroises.
Afanasy Chupin et Martin Helmchen pour le romantisme slave de Dvořák, la passion dramatique de Mozart et la mélancolie russe de Tchaïkovski.
Nicolas Altstaedt dans des variations classiques et romantiques au pupitre et au violoncelle.
Quand Strauss marie avec brio les instruments et le jeu de l’ombre et de la lumière de Mozart.
Ton Koopman invité de l’Orchestre de chambre de Paris pour un programme Bach père & fils et Haendel.
Javier Perianes et Deborah Nemtanu dans l’exercice du joué-dirigé avec deux concertos de Mozart et Beethoven.
Andrea Marcon et la soprano suédoise Johanna Wallroth pour un florilège de son répertoire de prédilection avec des airs de Mozart.
Fabien Gabel, Marie-Nicole Lemieux et Mélanie Laurent pour une soirée à la croisée des siècles.