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Orchestre de chambre de Paris

Andrea Marcon | direction
Johanna Wallroth | soprano

Andrea Marcon et la soprano suédoise Johanna Wallroth pour un florilège de son répertoire de prédilection avec des airs de Mozart.

Andrea Marcon
Andrea Marcon © Marco Borggreve
Johanna Wallroth
Johanna Wallroth © Faran Holzer

Mozart  Le Nozze di Figaro, ouverture
« Ei parte... senti... ah no!  /Per pietà, ben mio, perdona » , air extrait de Così fan tutte
« Quando avran fine omai / Padre, germani, addio! », air extrait d’Idomeneo 
« Ach ich fühl’s », air extrait de Die Zauberflöte  
Idomeneo, K. 366, ouverture
Exsultate jubilate, K. 165
Beethoven  Symphonie n° 7 op. 92

En première partie de concert, une anthologie d’airs où Mozart explore comme nul autre les tréfonds de l’âme humaine. Beethoven compose sa Symphonie n° 7 au moment où Napoléon Ier enchaîne les revers qui conduiront à sa chute : désastre de la campagne de Russie en 1812, défaite à Vitoria (nord de l’Espagne) et à Leipzig en 1813. Cette situation politique motive en partie le caractère jubilatoire de la partition et contribue à son triomphe lors de sa création, le 8 décembre 1813 à Vienne. Dépourvue de mouvement lent, la Symphonie no 7 est fondée sur des rythmes obsessionnels, jusqu’à l’euphorie dans les mouvements rapides. Richard Wagner, qui la désigne comme « l’apothéose de la danse », s’enthousiasmera en ces termes : « C’est la danse à son plus haut degré, le principe même du mouvement corporel incarné dans la musique. »

Production Orchestre de chambre de Paris