Jules César (et Cléopâtre) sur écran noir
Avant d’accueillir la version haendelienne de Jules César sur la scène du Théâtre, petite chronique des grands César et Cléopâtre de l’histoire du cinéma…
L’un des ouvrages les plus réussis du compositeur, ici servi ici par une équipe de haut vol, où la puissance de l’amour est souveraine.
Cecilia Bartoli | Cléopâtre
Carlo Vistoli | Jules César
Sara Mingardo | Cornelia
Max Emanuel Cenčić | Ptolémée
José Coca Loza | Achille
Kangmin Justin Kim | Sextus
Gianluca Capuano | direction
Les Musiciens du Prince-Monaco
Giulio Cesare est sans conteste l’une des plus belles pages de Haendel, mais avant d’être une peinture historique, c’est avant tout d’amour dont il est question. Alors que dans la majorité des opéras, les conflits politiques viennent contrecarrer élans du cœur et autres passions, ici ce sont les raisons d’Etat divergentes qui favorisent l’éclosion puis l’affirmation des sentiments les plus tendres. Le librettiste prend plaisir à multiplier les embûches sur le chemin de l’amour et Haendel trouve l’occasion d’y répondre par quelques-uns de ses plus beaux arias. Une équipe rompue à ce répertoire – et quelle équipe ! - est ici réunie pour servir avec panache et brio cet hymne à l’amour.
Coproduction Théâtre des Champs-Elysées | Céleste Productions – Les Grandes Voix
En accord avec l’Opéra de Monte-Carlo
Avant d’accueillir la version haendelienne de Jules César sur la scène du Théâtre, petite chronique des grands César et Cléopâtre de l’histoire du cinéma…
En ce début d’automne 1993, le phénomène Bartoli allait prendre son envol...
Rinaldo, réputé pour ses redoutables difficultés vocales, fut sans doute le plus grand succès de Haendel de son vivant et le reste aujourd’hui encore.
Sandrine Piau et une bien belle distribution pour servir ce rare Haendel qui propose de nous faire voyager sur les rives du Nil.
Toute la sensualité et la virtuosité de la mezzo Marina Viotti à servir Haendel.