Le chef Jakub Hrůša
On prononce ça comment ? “Hroucha” (si vous arrivez à prononcer le “H” sonore, vous serez couverts de lauriers !)
Jakub Hrůša, l’étoile montante de la direction d’orchestre revient au pupitre des Wiener Philharmoniker.
Brahms Concerto pour piano n° 2 op. 83
Entracte
Dvořák Symphonie n° 8 op. 88
Ancien assistant de Myung-Whun Chung, le jeune chef tchèque Jakub Hrůša, directeur de l’excellent Orchestre de Bamberg et du Royal Opera House de Londres est l’un des maestros les plus courtisés par les plus grandes phalanges symphoniques et scènes d’opéra. Qu’on en juge : Philharmoniques de Vienne et Berlin, Orchestre de la Radio Bavaroise, Leipzig, Concertgebouw d’Amsterdam, Santa Cecilia de Rome sans compter de l’autre côté de l’Atlantique où il a déjà conquis les musiciens de New York, Boston et Cleveland. Il reste méconnu en France mais c’est déjà sa seconde visite parisienne avec les Wiener Philharmoniker. C’est indéniablement un signe d’excellence. Aussi à l’aise en fosse qu’en concert, il aime à se faire l’avocat de son répertoire national (il est d’ailleurs président du Cercle Martinů et de la Société des amis de Dvořák). On rêve donc de l’entendre ici dans Dvořák où l’on sait qu’il fait démonstration d’une maîtrise impeccable et brillante de la forme et des rythmes. La rencontre de ce tempérament slave et des cordes viennoises ainsi que la présence du pianiste Igor Levit, qui compte désormais parmi l’élite internationale du clavier, sont un gage d’une soirée de haut niveau.
Production Théâtre des Champs-Elysées
On prononce ça comment ? “Hroucha” (si vous arrivez à prononcer le “H” sonore, vous serez couverts de lauriers !)
Programme tout Brahms pour le London Philharmonic Orchestra et le retour d’Hélène Grimaud avenue Montaigne.
Un Don Giovanni d’exception célébrant le 100e anniversaire de la première venue de l’Opéra de Vienne avenue Montaigne.
Igor Levit entre répertoire symphonique et ultimes confidences brahmsiennes.