Mirga Grazinytė-Tyla au TCE
Mirga Grazinytė-Tyla : Impossible à prononcer ? Impossible à l’oublier, tant la chef impressionne lors de ses concerts.
Entre fable et voyage initiatique, les péripéties de la Petite Renarde illustrent brillamment le testament musical et humaniste de Janáček.
Elena Tsallagova | La Renarde
Roland Wood | Le garde-chasse
Angela Brower | Le Renard
Elizabeth Cragg | La Poule / Le Geai
Ella Taylor | Le Coq / La Femme de l’aubergiste
Kitty Whately | Le Chien / La Femme du garde-chasse / La Chouette / Le Pivert
Robert Murray | Le Maître d’école / Le Moustique / L’Aubergiste
William Thomas | Le Blaireau / Le Curé / Le Braconnier
Enfants
Catherine Mulroy | La Petite Renarde
Joshua Webb | Le Criquet
Christopher Bergs | La Sauterelle
Ben Fletcher | La Grenouille
Leo Jemison | Pepik
Joshua D’Souza Konda | Frantik
Tous avec Daniel Todd et Simeon Wren | Les renardeaux
Mirga Gražinytė-Tyla | direction
City of Birmingham Symphony Orchestra
Chœur de Radio France | direction Irène Kudela
Opéra chanté en tchèque, surtitré en français et en anglais
Une soirée placée sous le signe de la grâce et de la poésie d’un conte humaniste où destinées humaines et animalières s’entrecroisent avec humour, fantaisie et mélancolie. Janáček, que l’on connaît pour ses drames particulièrement noirs que sont Jenufa ou Katia Kabanova, fait ici exception. Le musicien, alors âgé de soixante-dix ans, nous narre les aventures d’un garde-chasse, d’un aubergiste, d’un curé, d’un maître d’école… et d’une renarde, d’un renard, d’un chien, d’un coq et de quelques poules, de grillons, sauterelles, mouches, libellules, d’une chouette, d’un blaireau… Mais dans la forêt, rien ne vieillit jamais sauf les illusions des hommes. Pour accompagner ce bestiaire poétique, le retour de la talentueuse Mirga Gražinytė-Tyla et de ses musiciens de l’Orchestre de Birmingham.
PRODUCTION Théâtre des Champs-Elysées
Mirga Grazinytė-Tyla : Impossible à prononcer ? Impossible à l’oublier, tant la chef impressionne lors de ses concerts.
Voici un bref bestiaire musical long de cinq siècles d’histoire de la musique.
Les forces musicales de l’Orchestre de Birmingham ont souhaité dédier ce concert en soutien au peuple ukrainien.
Andris Nelsons à la croisée de la tradition viennoise et de la modernité russe.
La complicité musicale en terres slaves pour le violon de Christian Tetzlaff et le piano de Leif Ove Andsnes.