Les Musiciens de Saint-Julien
François Lazarevitch | flûte et direction
Julie Roset | soprano
Le triomphe éternel de Haendel au travers de la flûte et de la voix.
Haendel, sweet bird
Haendel « Sweet bird », air extrait d’Il Penseroso ed il Moderato, avec flûte traversière solo
Tra le fiamme, cantate pour soprano, viole de gambe, hautbois, deux flûtes à bec et cordes
Concerto grosso op. 6 n° 3
« No, no I’ll take no less », air extrait de Semele
« Ombre, piante, urne funeste! », air extrait de Rodelinda, avec flûte traversière solo
Concerto pour flûte à bec op. 4 n° 5
« Augeletti che cantate », air extrait de Rinaldo, avec flûte à bec piccolo solo
« Neghittosi, or voi che fate », air extrait d’Ariodante
Atelier Musique Jeune Public Flûte en bois, flûte en or, flûte alors ! (7-10 ans)
On associe souvent Haendel à sa virtuosité extravagante. Et il en sera bien question dans les extraits de Semele et d’Ariodante au programme du matin. Mais les Musiciens de Saint-Julien préfèrent commencer avec un passage assez mélancolique de L’Allegro, il Penseroso ed il Moderato, avant d’enchaîner sur une délicate cantate de jeunesse. Entre pages vocales ou purement instrumentales, dont une transcription du Concerto pour orgue HWV 293, les flûtes de François Lazarevitch vous en feront entendre de toutes les couleurs. Elles mêleront aussi leurs notes à celles de Julie Roset, déjà remarquée chez le Saxon : « voix fraîche et pleine », « émission diaphane », « timbre céleste », notait par exemple Diapason à propos du récital de la soprano avec Leonardo García Alarcón, paru l’année dernière chez Ricercar.
Coréalisation Jeanine Roze Production | Théâtre des Champs-Elysées