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Lucile Richardot, envoûtante contralto

Mezzo, alto, contralto… sa voix se prête à beaucoup de rôles et de styles, et Lucile Richardot la suit fidèlement ! Durant la saison 2020-21, elle fera trois apparitions sur la scène du Théâtre des Champs-Elysées. Présentations !

Elle vient d’où ? de Lorraine.

Années de formation : Si Lucile Richardot chante depuis toujours, c’est à 11 ans qu’elle découvre le chant choral et la musique ancienne au sein des Petits Chanteurs à la Croix de Lorraine à Epinal. Un répertoire qui ne la quitte plus ! Une fois diplômée, elle travaille dans le journalisme tout en participant à des ensembles vocaux… jusqu’à finir par changer de métier et intégrer un Conservatoire puis la Maîtrise de Notre-Dame.

Révélation : Son disque, Perpetual Light (label Harmonia Mundi) avec Sébastien Daucé et l’ensemble Correspondances, où elle explore les Songs à l’origine de l’opéra en Angleterre, obtient de nombreuses récompenses dans la presse (Diapason d’Or, Choix de France Musique, Choc de Classica, ffff de Télérama, Diamant de l’Opéra magazine, Prix de la critique musicale allemande….)

Répertoire : son fief s’étend de la musique médiévale au répertoire baroque avec, à l’opéra, Vivaldi, Haendel, Monteverdi ou Bach. Mais elle fait aussi des incursions jusqu’à la musique contemporaine.

Elle rêve de chanter : mère Marie et la Prieure dans Dialogues des Carmélites.

On l’a vue avec les ensembles les Solistes XXI (Rachid Safir), Correspondances (Sébastien Daucé), Pygmalion (Raphaël Pichon), Les Arts Florissants (William Christie), Le Poème Harmonique (Vincent Dumestre)

On la verra au TCE dans : aux côtés de Philippe Jaroussky dans “Viva Vivaldi“, dans le double rôle de Vénus / La Nuit dans Le Ballet royal de la Nuit, dans les lieder de Brahms et mélodies de Chausson avec Adam Laloum et le quatuor Strada.

Découvrez-la en video: “When Orpheus Sang” de Purcell, avec l’Ensemble Correspondances.