Continuer sans accepter

Nous respectons votre vie privée

Avec votre accord, nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre page dédiée aux cookies sur ce site.

Bienvenue sur le site du Théâtre des Champs-Elysées

Le Théâtre des Champs-Elysées et ses partenaires déposent des cookies et utilisent des informations non sensibles de votre appareil pour améliorer leurs produits et afficher des publicités et contenus personnalisés. Vous pouvez accepter ou refuser ces différentes opérations. Pour en savoir plus sur les cookies, les données que nous utilisons, les traitements que nous réalisons et les partenaires avec qui nous travaillons, vous pouvez consulter notre page dédiée à la gestion des cookies.

    Calendrier

    Le portrait de Victor Bommel

    Si les artistes peuvent chanter et jouer sous les feux des projecteurs chaque soir, c’est en partie grâce à Victor Bommel qui agit dans l’ombre des coulisses du Théâtre des Champs-Elysées en tant que régisseur lumière.

    Quel est votre fonction actuelle au sein du Théâtre ?

    Je fais partie de l'équipe technique et assure le poste de régisseur lumière.

     

    Depuis combien de temps travaillez-vous au Théâtre des Champs-Elysées et pourquoi avoir choisi d’y travailler ?

    Cela fait 8 ans que je travaille au Théâtre des Champs-Elysées (depuis 2016). J'y étais entré quelques années auparavant pour y effectuer mon apprentissage d'une durée de deux ans (2012). Au début, c'était un peu par hasard, je cherchais une entreprise prête à accueillir un alternant. J'ai tout de suite senti que j'étais bien tombé.

     

    Ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

    Le travail d'équipe avec différents profils, l'organisation en amont des montages, et trouver des solutions aux problèmes qui se présentent lors de la création d'un opéra. C'est un métier qui demande beaucoup au niveau humain et en termes de cohésion d'équipe.

     

    Avec qui travaillez-vous au quotidien ?

    Cela dépend de la période. Au fil de l'année, je travaille avec les acteurs des différents services qui m'entourent à la technique (direction technique, bureau d'étude, régisseurs généraux, services lumière, machinerie, son). Puis, à certains moments de la saison (comme pour les opéras), s'ajoutent à cela des metteurs en scène, des scénographes, des régisseurs d'opéra, un éclairagiste, des accessoiristes, des habilleuses, des maquilleuses, des perruquières, des costumiers et, bien sûr, les solistes, les chœurs, l'orchestre et le maestro.

     

    Quel est le premier morceau de musique que vous vous souvenez avoir entendu dans votre vie ? 

    Mon père est un grand fan de Neil Young. Je ne sais pas s'il s'agit du premier artiste que j'ai entendu, mais il doit être celui dont j'ai entendu la première interprétation acoustique de "My My, Hey Hey (Out of the Blue)" via mon père à la guitare. Pour ce qui est du classique, j'ai un souvenir bien précis d'un CD cartonné de sensibilisation à la musique classique à travers Mozart que mes parents m'avaient acheté autour de mes 6-7 ans.

     

    Une rencontre qui vous a particulièrement marquée au Théâtre des Champs-Elysées ?

    Je me souviens avoir été particulièrement retourné (pour ne pas dire bouleversé) par l'interprétation du rôle de Violetta par Vannina Santoni dans "La Traviata" de Verdi. Je relisais au moment de cette production "La Dame aux Camélias" d'Alexandre Dumas fils, et il était très intéressant d'avoir en même temps le parallèle des images que me procurait le livre et la magnifique interprétation portée à la scène.

     

    Le Théâtre des Champs-Elysées va bientôt être équipé de nouveaux projecteurs, pouvez-vous nous en dire plus ? 

    Le Théâtre se prépare à moderniser son équipement d'éclairage en remplaçant ses anciens projecteurs à lampe tungstène par des projecteurs LED. Ce changement nous offrira, en plus d'une économie de consommation électrique considérable, une flexibilité artistique étendue. Avec la flexibilité des LED, les metteurs en scène et les scénographes disposent de nouveaux outils pour expérimenter et innover.

     

    Pour vous, le Cercle des Mécènes c’est…

     Le Cercle représente pour moi un groupe de mélomanes qui s'investit et donne une opportunité précieuse de soutenir et d'encourager l'art et la culture. Il joue un rôle essentiel dans le développement et la promotion des initiatives artistiques, permettant ainsi à la créativité de s'épanouir et de toucher un public plus large.